EMI / Voici le nom des 16 dessinateurs du festival de mars 2022
Voici une courte présentation biographique des dessinateurs mis en valeur lors des Premières Rencontres internationales du dessin de presse de Lyon, du 10 au 13 mars 2022 dans la Capitale des Gaules (source : dossier de presse de l'organisateur, l'association lyonnaise "Ça Presse !")
- Charb (par Marika Bret)
Comme l’a écrit Denise sa maman, Charb n’a jamais voulu être un héros. Il dessinait, écrivait à Charlie, l’Huma, Télérama, LCI, et ailleurs, pour défendre des principes et des idées et combattre celles qui lui semblaient dangereuses, abjectes, néfastes. Vaste programme. Charb dénonçait les cons et les salauds pour n’en citer que quelques-uns, les antisémites, les racistes, les homophobes, les sexistes, les machos, les capitalistes, les pollueurs, les colonialistes, les esclavagistes, les dictateurs. Charb était aux côtes des sans-papiers, des sans logement, pour le résumer simplement aux côtés de ceux à qui on enlève toute dignité. Charb insistait sur des moyens tant humains qu’économiques, pour l’Education Nationale, pour l’hôpital, et plus généralement pour les services publics qui, c’est pire encore aujourd’hui n’ont plus rien de proximité. Charb défendait la laïcité sans adjectifs et la liberté d’expression sans ‘oui, mais’. Charb aimait particulièrement se rendre dans les écoles pour expliquer son métier et partager de salutaires éclats de rire avec les élèves. Charb militait pour pour l’égalité des chances et un même accès à la culture, parce que les deux sont indissociables. Charb pensait que seul le partage des richesses sauvera le monde. Charb ne craignait pas de dire merde à Dieu et à toutes les hypothèses divines. Charb considérait les adultes comme des citoyens à part entière, tous capables d’émancipation, de comprendre le second degré, attachés à l’humour, un rempart face aux imbécilités, manipulations, mensonges et lâchetés. Charb appréciait notamment l’histoire, la littérature et le cinéma. Charb voyageait pour observer par lui-même les détails de la vie. Charb n’était pas un bon cuisinier, mais il était un fin gourmet. Charb était cultivé, Charb était généreux, Charb était libre, subtil et drôle, vraiment drôle. Charb était républicain, laïque et féministe, se revendiquait de la gauche universaliste, c’est-à-dire celle qui ne perd jamais la boussole de l’humanisme.
Au secours Charb, reviens !
- Cambon
Michel Cambon vit et travaille à Grenoble. Après des études d’arts, il est dessinateur pour la presse et l’édition. Il est l’auteur d’albums de dessins publiés par les éditions Glénat et Iconovox et le lauréat du Prix PCE (Presse Cartoon Europe) pour un dessin paru sur Urtikan.net et dans l’hebdomadaire La Terre de chez nous. Il collabore à des hebdomadaires régionaux (Les Affiches de Grenoble,) ou plus spécialisés (La Lettre du cadre territorial, Le Journal des Arts), ainsi qu’à plusieurs mensuels et revues.
- Deligne
Deligne dessine depuis 1986 dans la presse française. Il a collaboré à l’Évènement du jeudi, au journal Soir3 puis devient le dessinateur attitré de La Croix. Il travaille également dans les quotidiens La Montagne, Nice Matin, Le Télégramme et il participe à l’émission La Revue de Presse sur Paris Première. Sur internet, on le retrouve sur le site urtikan.fr Albums parus : "Tout va trop Vite" aux éditions Glénat, « Hep Taxi » éditions Lajouanie, « Les zéros sociaux » éditions Iconovox, « Le selfie à travers les âges » éditions Iconovox, « Le selfie à travers les arts» éditions Iconovox, « Aux chiottes l’arbitre» éditions Iconovox, « Restons sport » éditions Iconovox, « Plaisir d’offrir » éditions Iconovox
- Dubouillon
Qui à Lyon ne connaît pas Dubouillon ? La carrière de Dubouillon a commencé très tôt, à Paris : en 1965, âgé de 22 ans, il publie son premier dessin dans Paris Match. Séduit par son style, l'hebdomadaire le publie pendant un an. Les « gribouillons » de Dubouillon intéressent aussi les magazines Lui, Le Nouveau Candide, Adam et d'autres revues de la capitale. Il est publié à l'étranger : à Mayfair en Angleterre où il confie sa production à l'agence Camera. En Allemagne, ses dessins sont publiés chez Stern. Toujours à Paris, en 1967, il entre aux Éditions Dargaud dans l'équipe du Journal de Tintin, où il occupe pendant deux ans la deuxième de couverture avec le dessinateur Reiser qui lui écrit des scénarios pour son personnage de l'époque : Gazoual. Toujours avec Reiser s'occupant des scénarios, il collabore avec le magazine Record pour lequel il crée un autre personnage avec son ami dessinateur Auguste : Tortax, une tortue volante jouant la justicière. Après cette première période, Dubouillon se met à croquer les hommes politiques et l'actualité chaude dans les années 1970, période durant laquelle il s'installe en Ardèche, se marie et fonde une famille avec trois enfants. De retour à Lyon, il devient le dessinateur attitré du quotidien Le Progrès, où il commente l'actualité. Le journal lui réserve une colonne dans l'édition du dimanche, où Dubouillon résume à sa manière l'actualité de la semaine. Dubouillon est aussi pendant 35 ans le dessinateur attitré de Lyon Poche, un hebdomadaire culturel de Lyon. Dubouillon a aussi collaboré avec Canal+ et signé une série de dessins animés de 100 épisodes de 15 secondes sur les JO de Barcelone en 1992. Ses albums annuels forment une rétrospective de l'actualité et il a publié plusieurs albums consacrés aux coupes du monde de football.
- Gros
Pascal Gros est né en 1970 à Paris. Après des études d'ingénieur en électronique, il dessine pendant son service (civil) dans Les Réalités de l'Ecologie et participe au journal alternatif La Vache Folle. En 1997, il commence à dessiner dans Marianne, où il travaille toujours. Il collabore également à Causette, L’Humanité, WeDemain, Info-Pilote, Ensemble-CGT, et dessine régulièrement en direct sur Arte dans l’émission 28’. Il a obtenu en 2008 le prix « coup de cœur » Presse-Citron, en 2015 le « trophée pro » Presse-Citron/BNF ainsi que le prix du public au festival de l’Estaque.
- Lacombe
Né à Annonay en 1971, il réside aujourd’hui à Lyon où il a été diplômé de l’école Émile Cohl. Dessinateur de presse, il dessine actuellement pour Marianne, Siné Mensuel, Urtikan.net, Mazette, et a aussi collaboré à L'Echo des Savanes Officiel , le Psikopat, La Tele Libre, Bakchich.info … Auparavant, il a travaillé durant une douzaine d’années comme animateur 2d et 3D dans le cinéma d’animation, l’audiovisuel et le jeu vidéo et collabore encore avec quelques studios comme animateur 2D. Il a également enseigné le dessin de personnage (character design et posing) durant 6 ans à Bellecour Ecole (Lyon).
- Malingrey
Rémi Malingrëy est né à Commercy en 1958. Il vit et travaille à Nancy depuis qu'il y a fait les beaux-arts. Il dessine dans la presse depuis le début des années 80. De Libération à Science & Vie Junior, en passant par Okapi et Siné Mensuel ou l’Amateur de Cigares, le spectre de ses collaborations est aussi large que son envie de tâter d'expériences différentes. Il réalise des clips et des habillages pour la télévision, des affiches pour le cinéma, collabore avec le théâtre de rue en signant costumes et décors et monte jusqu’à trois expositions par an. Il est l’auteur de plusieurs livres dont Chagrin mode d’emploi et Fumer de l’argent rend pauvre chez Verticales et Le Dico des Mots Rigolo chez Albin Michel Jeunesse.
- Mana Neyestani
Né à Téhéran en 1973, Mana Neyestani a une formation d’architecte, mais il a commencé sa carrière en 1990 en tant que dessinateur et illustrateur pour de nombreux magazines culturels, littéraires, économiques et politiques. Il devient illustrateur de presse à la faveur de la montée en puissance des journaux réformateurs iraniens en 1999. En 2000, il publie son premier livre en Iran, "Kaaboos" (Cauchemar), qui sera suivi de "Ghost House" (2001) et "M. Ka’s Love Puzzle" (2004). Catalogué comme dessinateur politique, Neyestani est ensuite contraint de faire des illustrations pour enfants. Celle qu’il a faite en 2006 a conduit à son emprisonnement et à sa fuite du pays. Entre 2007 et 2010, il vit en exil en Malaisie, en faisant des illustrations pour des sites dissidents iraniens dans le monde entier. Dans la foulée de l’élection frauduleuse de 2009, son travail est devenu une icône de la défiance du peuple iranien. En 2012, il publie en France le récit de son emprisonnement et de sa fuite d’Iran, "Une Métamorphose Iranienne" (coédition Éditions çà et là / ARTE). Il publie ensuite en 2013 un recueil de dessins de presse, "Tout va Bien !", puis en 2015 son "Petit manuel du parfait réfugié politique" (çà et là / Arte). Mana Neyestani a remporté de nombreux prix iraniens et internationaux, plus récemment, le Prix du Courage 2010 du CRNI (Cartoonists Rights Network International). Membre de l’association Cartooning for Peace , il a reçu le Prix international du dessin de presse, le 3 mai 2012, des mains de Kofi Annan et le Prix Alsacien de l’engagement démocratique. Il vit aujourd’hui à Paris, en tant que membre de l’ICORN (Réseau international des villes de refuge).
- Pancho
Né au Venezuela, il a commencé mon activité de journaliste dessinateur de presse à l’âge de 24 ans en Uruguay dans l’hebdomadaire Marcha, où il a travaillé jusqu’au coup d’État militaire de 1973. Fin 1973, il part à Buenos Aires, Argentine, où il publie des dessins et des bandes dessinées dans plusieurs publications jusqu’à fin 1975. Au Venezuela, dès janvier 1976 à la mi-1983, le journal El Nacional, de Caracas, lui confie la caricature quotidienne de la section de politique internationale, ses dessins sont aussi publiés dans la revue Numero de Caracas et il collabore aussi avec des publications aux Etats-Unis, Mexique, Brésil, Colombie, France et Suisse. En France, où il vit depuis 1983, ses dessins sont publiés à partir de la même année dans Le Monde (avec un dessin quotidien dès 1986 jusqu’à 2008), Le Canard Enchaîné (depuis 1985 jusqu’à ce jour), Magazine Lire, Magazine Littéraire, Le Monde Diplomatique, The International Herald Tribune, et d’autres publications. De Paris, il a aussi collaboré avec Il Sole 24 Ore de Milan, The Guardian de Londres et The New York Review of Books, de NYC. Ses dessins et peintures ont été exposés individuellement en France, Venezuela, Brésil, Argentine, Italie, Danemark, Roumanie, Espagne et en Uruguay où, en 2016, le musée d’art moderne MNAV de Montevideo lui a dédié une rétrospective. En France, il est publié tant dans des livres collectifs qu’en solo avec C’est Parti ! (Art International Publishers 1993), Signes et Figures (Éditions Galaade 2009) et Un Monde de Brut (Éditions BakerStreet 2015)…
- Pedro X Molina (Pxmolina)
Depuis plus de vingt ans, Pedro x. Molina, originaire du Nicaragua, travaille comme dessinateur de presse et illustrateur dans le monde entier. Ses dessins, caricatures, unes éditoriales, bandes dessinées ont été publiés par des journaux de renommée mondiale comme Politico, Los Angeles Times, The Washington Post Magazine, Courrier international. Aujourd’hui, ses dessins paraissent quotidiennement sur Confidencial.com.ni. Il a également contribué à la collection Cartooning for Peace aux éditions Gallimard. Pedro x. Molina a obtenu en 2018 le Prix de l’Excellence en Journalisme dans la catégorie dessin de presse décerné par l’Association Inter-American Press. Il est lauréat du prix Maria Moors Cabot 2019, a reçu le prix Courage de l’Editorial Cartoon Award 2019 du Cartoonists Rights Network International. Pedro X Molina a fui le Nicaragua. Il est aujourd’hui réfugié dans une ville de l’ICORN (Réseau international des villes de refuge).
- Sié
Jérôme Sié est dessinateur de presse et illustrateur. Après ses études de cinéma à Montpellier, il est chroniqueur radio bénévole et rédacteur-graphiste à Reporters sans frontières. Passé par l'Underground, la Nouvelle bande dessinée, la PQR, la presse web et la communication, il partage aujourd'hui son activité entre presse satirique et presse ado et collabore régulièrement avec Siné Mensuel, Phosphore, Okapi, Je Bouquine, Images Doc, Géo Ado, Le Monde des ados Magazine..
- Soph'
Née à Toulouse puis expatriée très tôt dans le Nord, Soph’ après un bac B, fait une prépa aux Beaux-Arts de Cambrai avant d’enchaîner avec des études de lettres à Lille. Un Capes plus tard, elle enseigne le français en lycée puis collège, et ouvre en parallèle un blog, Les toujours ouvrables, dans lequel elle publie quotidiennement de petits strips humoristiques et qui lui vaudra d’être primée en 2008 dans la catégorie "Révélation blog BD" à Angoulême. Elle sort ensuite deux albums chez Paquet, des petits guides décalés chez Magnard, dessine pour Rue89, Public, Phosphore, Psikopat, l’Echo des Savanes, Siné Madame. On peut actuellement trouver ses dessins dans le magazine 200, Mazette (successeur numérique de Psikopat), Siné Mensuel, Causette, Le Canard enchaîné et depuis janvier 2021 dans L’Humanité. Son dernier album BD, "Tronches de vies", est sorti en 2019 aux Editions lapin.
- Soulcié
« Né dans le Loir-et-Cher. Vit à Bordeaux. Jeune et de bonne humeur, Soulcié saura vous séduire par son point de vue très con sur beaucoup de sujets. Dessine pour L'Equipe, Marianne, Télérama.fr, La Revue Dessinée, Fluide Glacial et tous ceux qui sont d’accord. »
- Tronchet
Didier Vasseur, dit Tronchet, est un dessinateur et scénariste de bandes dessinées français, né le 29 septembre 1958 à Béthune. Il a lancé deux séries d'humour noir durant les années 1980, "Raymond Calbuth", puis "Jean-Claude Tergal". Durant les décennies suivantes, il signe plusieurs romans graphiques et collabore avec différents dessinateurs dans des registres plus dramatiques.
- Willem
Dessinateur satirique néerlandais né le 2 avril 1941 à Ermelo (Pays-Bas). Il réside en France depuis 1968 et devient en 2013 le premier Néerlandais à obtenir le Grand Prix de la ville d’Angoulême. Il fréquente l'École des Beaux-Arts à Arnhem puis à Bois-le-Duc (s'Hertogenbosch, Pays-Bas) de 1962 à 1967, il adhère à cette époque au mouvement "provo" et fonde en 1966 un journal satirique, God, Nederland & Oranje (Dieu, les Pays-Bas et le royaume d'Orange). Ce dernier fait l'objet d’une saisie après la publication d’un dessin représentant Juliana, la reine des Pays-Bas, en prostituée, et la plupart des 9 numéros parus (auxquels contribuent entre autres Roland Topor et le dessinateur belge Picha) subissent le même sort. Il collabore ensuite régulièrement à l'hebdomadaire Aloha. Il s'installe ensuite en France en 1968 et commence à dessiner à l'Enragé en mai 1968. Il participe aux premiers numéros de l'Hebdo-Hara-Kiri, qui devient Charlie Hebdo en 1970, et y publie ses rubriques Revue de Presse et chez les esthètes. En 1976, il dirige pour les Éditions du square, qui publient déjà HARA KIRI et Charlie, un nouveau journal de bande dessinée dénommé Surprise [1] qui, d'abord trimestriel et finalement bimestriel, cessera de publier la même année au 5e numéro en raison de son interdiction de vente aux mineurs prononcée par Michel Poniatowski, alors ministre de l'Intérieur. Son style se distingue par l'usage d'une imagerie parfois violente, alliée à une satire politique et sociale cinglante. Il participe à Charlie Mensuel et finit par en être le rédacteur en chef pour les derniers numéros de 1981 (n°146 à 152), année de la fin de sa première parution. À partir de 1981, Willem collabore au quotidien Libération et rejoint en 1992 l'équipe de Charlie Hebdo nouvelle formule. En 1991 il signe la première une du journal La grosse Bertha. À partir de 2011, il contribue également à Siné Mensuel. En 2013 il devient, à 71 ans, le premier Néerlandais à obtenir le grand prix de la Ville d’Angoulême. Ne participant pas régulièrement aux conférences de rédaction de Charlie, il échappe à l'attentat au siège de la rédaction, le 7 janvier 2015. Il participe à la marche organisée à Paris le 11 janvier pour condamner le terrorisme. Le 1er avril 2021, Willem a pris sa retraite de Libé : c'est Coco, dessinatrice à Charlie Hebdo, qui lui a succédé comme caricaturiste attitrée du quotidien.
- Willis From Tunis
Alias Nadia Khiari, Willis est franco-tunisienne. Enseignante en arts plastiques, peintre et dessinatrice, elle a publié plusieurs recueils des chroniques de la révolution et publie ses dessins dans Siné Mensuel, Courrier international, etc. Willis from Tunis est née le jeudi 13 janvier 2011, durant le discours du président déchu tunisien, Ben Ali, qui promettait, entre autres, la liberté d’expression. Au départ, cette chronique graphique autour d'un chat était le moyen de partager avec l’entourage direct de l’auteur, sur les réseaux sociaux, son ressenti vis-à-vis de la situation historique que les Tunisiens vivaient. Sur le ton de l’humour grinçant, le matou chroniquait l’actualité au jour le jour. Elle a reçu le Prix Honoré Daumier (lors de la deuxième rencontre de Cartooning for Peace à Caen en 2012), les insignes de Docteur Honoris Causa de l’Université de Liège en 2013, le prix international de la satire politique à Forte dei Marmi (octobre 2014), le Prix Agora Med du Dialogue Interculturel Méditerranéen (Italie, juin 2015), le prix « Couilles au cul » lors du festival Off d’Angoulême (janvier 2016), le Prix des dessinateurs sur le thème « Vive les Femmes » lors du Festival Traits d’Humour (Saint Jean Cap Ferrat, octobre 2017) ainsi que le Prix Sokol (Musée de la caricature de Krems, Autriche, sept. 2018).
Pour en savoir plus : Ça Presse : www.capresse.org - capresselyon@gmail.com
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